Mercredi 9 avril : réunion des S1 du Val d’Oise à la maison des syndicats

dimanche 12 avril 2009
par  Snes S2 Val d’Oise

Sont présents ou ont fait parvenir des informations :

Argenteuil : les lycées Georges Braque, Romain Rolland et Jean Jaurès, les collèges Paul Vaillant Couturier, et Claude Monet,

Beauchamp : le collège Montesquieu,

Bernes sur Oise : le collège Pierre Perret,

Cergy : les collèges des Touleuses et de la Justice, le lycée Kästler,

Deuil la Barre : le lycée Camille Saint Saëns,

Enghien les Bains : le lycée Gustave Monod,

Ermont : le lycée van Gogh,

Fosses : le lycée Baudelaire,

Franconville : le collège Bel Air,

Garges : le collège Matisse,

Jouy le Moutier : le lycée de l’Hautil,

Le Plessis Bouchard : le collège Pagnol,

L’Isle-Adam : le lycée Fragonard,

Luzarches : le lycée Gérard de Nerval et le collège Anna de Noailles,

Marly la Ville : le collège Dolto,

Osny : le lycée Paul-Emile Victor,

Persan : le collège Brassens,

Pontoise : le collège Flamel,

Saint Brice Sous Forêt : le collège l’Ardillière de Nézant,

Saint-Leu la Forêt : le collège Landowska,

Saint-Ouen l’Aumône : le lycée Jean Perrin,

Sannois : les collèges Voltaire et Jean Moulin,

Sarcelles : le lycée Jean-Jacques Rousseau,

Vauréal : le lycée Camille Claudel,

Viarmes : le collège Blaise Pascal

Villiers le Bel : le collège Léon Blum

Il y a 219 suppressions de postes dans le département. Près de 1000 dans l’académie. Les situations des établissement sont contrastées. Les reprises sont massives dans les lycées où le mot d’ordre est à la réduction des options et de l’offre de formation.

En collège comme en lycée les classes seront de plus en plus chargées : on atteindra dans de nombreux cas 30 élèves par classe en collège et 40 en lycée. Quelques très rares établissements sont épargnés cette année : ils ont souvent déjà payé leur tribu aux économies budgétaires les années passées. On les laisse donc souffler cette année. Les services de l’Etat espèrent ainsi diviser pour éviter que la mobilisation ne monte.

Beaucoup de collègues font remonter des problèmes récurrents de relations avec les chefs d’établissement.

Les cas d’autoritarisme se multiplient, les atteintes à la liberté pédagogique aussi. La politique actuelle de déconcentration et de contractualisation qui renforce l’autonomie des établissements accentue sans doute ce phénomène.

Chacun s’accorde à souhaiter que le mouvement des lycéens et des établissements déjà dans l’action s’étende et se renforce.

Les sections d’établissement vont s’organiser pour encadrer au mieux les lycéens lors des manifestations à venir.